Nos priorités sont :

• l'accompagnement des familles dans leur vie quotidienne ;
• l'accueil du jeune enfant ;
• l'accès au logement ;
• la lutte contre la précarité.

3 minutes pour comprendre la Sécurité sociale

Les missions de la Caf de Loire-Atlantique

Les prestations

Confrontée aux évolutions régulières de ses missions et des situations des familles ainsi qu’aux attentes des usagers, la Caf de Loire-Atlantique s’adapte et place la qualité et la personnalisation du service rendu à ses

Personnes qui perçoivent déjà des prestations de la Caf ou qui vont en percevoir (en cours d’affiliation à la suite d’une demande de prestation). Les personnes qui ont déjà eu un dossier sont toujours considérées comme « allocataires » même si leur dossier est radié (fermé).

au coeur de son développement.

L'action sociale

Décentralisée, l’action sociale familiale de la Caf de Loire-Atlantique est définie par son Conseil d’administration. Dans le cadre d’orientations nationales et à partir de diagnostics locaux, il mène une politique active dans son domaine de compétence : l’enfance, la jeunesse et la famille. L’action sociale de la Caf de Loire-Atlantique s’appuie sur un réel partenariat.

Véritable outil d’aide à la décision, son service conseil contribue à l’expertise des besoins sociaux dans le cadre d’objectifs contractualisés (études de besoins, évaluations financières, diagnostic...). Sur cette base, la Caf participe au financement des services collectifs comme les équipements d'accueil du jeune enfant, les accueils de loisirs, les

Composés de l’allocataire lui-même, du conjoint, des enfants et autres personnes à charge (personnes handicapées, enfants confiés par jugement, etc.).
Si un enfant vivant chez ses parents fait une demande prestation, il devient lui-même allocataire. Dans ce cas, seuls ses revenus sont pris en compte pour le calcul de la prestation.

de jeunes travailleurs et les structures d'animation de la vie sociale par l’octroi de subventions, prêts et prestations de services.

Enfin, elle tente d’agir le plus en amont possible des risques d’exclusion en privilégiant la participation des familles dans les projets qui les concernent (médiation familiale, soutien à la parentalité...) et en attribuant des aides directes (prêts ou secours).