La non-violence éducative, c’est à la portée de tous !
La non-violence éducative, c’est à la portée de tous !
En finir avec les violences éducatives ordinaires. C’est l’objectif de la Journée de la non-violence éducative qui se tient ce 30 avril pour promouvoir une autre façon d’élever ses enfants : une éducation sans claque, ni fessée, sans chantage, menace ou punition.
En 2004, Catherine Dumonteil-Kremer, consultante familiale et pionnière de la parentalité positive, a créé cette journée avec l’association de soutien à la parentalité « La maison de l’enfant ». Avec une conviction : la parentalité positive peut s’apprendre. Et contrairement aux idées reçues, elle n’est pas synonyme de laxisme. Elle offre des solutions alternatives pour dire « non » de façon bienveillante, en tenant compte des besoins et des émotions de chacun, pour aider l’enfant à grandir de façon harmonieuse et à devenir un adulte autonome.
« Cette journée est déployée dans toutes les régions, explique Catherine Dumonteil-Kremer. Des parents référents formés à la parentalité positive animeront divers événements en visioconférence tout au long de cette journée : débats, groupes de soutien sur le thème des alternatives à la violence éducative ordinaire... »
Pour la première fois, en 2021, cette édition est aussi destinée aux professionnels de la petite enfance sur le thème « Autorité et bienveillance, est-ce compatible ? ». « La collectivité est également un lieu de tensions et nous aidons ces professionnels à trouver des solutions alternatives à la violence ordinaire », précise Catherine Dumonteil-Kremer.
Le contexte de confinements successifs, depuis un an, a entraîné une augmentation des violences familiales. Le 119, numéro d’appel d’urgence pour signaler les violences intrafamiliales, a vu le nombre d'appels croître, notamment de la part de mineurs en situation de danger (+ 56,2 % entre le 18 mars et le 10 mai 2020, par rapport à 2019). L’absence de relations sociales et la vie partagée dans des lieux exigus a pu faire naître des tensions au sein des familles, mettant à mal l’éducation non-violente.
La journée sur la non-violence éducative invite ainsi à réfléchir à la manière de poser des limites dans le respect de l’enfant, même dans les situations exceptionnelles comme celle que nous vivons aujourd’hui.
En 2004, Catherine Dumonteil-Kremer, consultante familiale et pionnière de la parentalité positive, a créé cette journée avec l’association de soutien à la parentalité « La maison de l’enfant ». Avec une conviction : la parentalité positive peut s’apprendre. Et contrairement aux idées reçues, elle n’est pas synonyme de laxisme. Elle offre des solutions alternatives pour dire « non » de façon bienveillante, en tenant compte des besoins et des émotions de chacun, pour aider l’enfant à grandir de façon harmonieuse et à devenir un adulte autonome.
Autorité et bienveillance, c’est compatible
« Cette journée est déployée dans toutes les régions, explique Catherine Dumonteil-Kremer. Des parents référents formés à la parentalité positive animeront divers événements en visioconférence tout au long de cette journée : débats, groupes de soutien sur le thème des alternatives à la violence éducative ordinaire... »
Pour la première fois, en 2021, cette édition est aussi destinée aux professionnels de la petite enfance sur le thème « Autorité et bienveillance, est-ce compatible ? ». « La collectivité est également un lieu de tensions et nous aidons ces professionnels à trouver des solutions alternatives à la violence ordinaire », précise Catherine Dumonteil-Kremer.
Poser des limites dans le respect de l’enfant
Le contexte de confinements successifs, depuis un an, a entraîné une augmentation des violences familiales. Le 119, numéro d’appel d’urgence pour signaler les violences intrafamiliales, a vu le nombre d'appels croître, notamment de la part de mineurs en situation de danger (+ 56,2 % entre le 18 mars et le 10 mai 2020, par rapport à 2019). L’absence de relations sociales et la vie partagée dans des lieux exigus a pu faire naître des tensions au sein des familles, mettant à mal l’éducation non-violente.
La journée sur la non-violence éducative invite ainsi à réfléchir à la manière de poser des limites dans le respect de l’enfant, même dans les situations exceptionnelles comme celle que nous vivons aujourd’hui.
Pour aller plus loin
« La journée de la non-violence éducative » sur le site Parentalité créative
Le site Parentalité créative
Notre dossier « Briser le silence sur la maltraitance »
Nos articles
« Comment protéger les enfants des violences familiales ? »
« Education : la souffrance n’apprend rien à un enfant »
« Education : il n’est jamais trop tard pour être bienveillant »
« Violences sur mineur : déceler et combattre le danger »
« 3 façons de dire non à son enfant, en restant bienveillant »
« Stop aux violences faites aux enfants ! »
Le site Parentalité créative
Notre dossier « Briser le silence sur la maltraitance »
Nos articles
« Comment protéger les enfants des violences familiales ? »
« Education : la souffrance n’apprend rien à un enfant »
« Education : il n’est jamais trop tard pour être bienveillant »
« Violences sur mineur : déceler et combattre le danger »
« 3 façons de dire non à son enfant, en restant bienveillant »
« Stop aux violences faites aux enfants ! »